91鶹

PNUE

Ce rapport du Programme des Nations Unies pour l'environnement () fournit un examen annuel de la différence entre les prévisions d'émissions de gaz à effet de serre en 2030 et le niveau où elles devraient se situer pour éviter les pires effets du changement climatique. Le rapport constate que, malgré une baisse des émissions de dioxyde de carbone de courte durée causée par la pandémie de COVID-19, le monde continue de se diriger vers une augmentation des températures supérieure à 3°C au cours de ce siècle, bien au-delà des objectifs de l' qui consistent à limiter le réchauffement climatique en deçà de 2°C et à viser 1,5°C.

 

Ce rapport du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) présente des stratégies efficaces d'utilisation des matières premières pour un avenir à faibles émissions de carbone.

Les petits États insulaires en développement (PEID) ont connu une expansion spectaculaire de leur secteur touristique ces dix dernières années.

Des millions de véhicules d'occasion exportés depuis l'Europe, les États-Unis et le Japon vers les pays à faible et moyen revenu entravent les efforts de lutte contre le changement climatique.

Tandis que les incendies faisaient rage dans l'Ouest américain, Pascal Peduzzi, climatologue au Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) à Genève, a suivi la situation de la qualité de l'air à Mammoth Lakes, une ville située dans les montagnes de la Sierra Nevada en Californie. Le scientifique se trouvait à plus de 9 000 km de là mais il a pu observer ces données grâce à « la salle de situation mondiale de l'environnement » (, WESR) du PNUE. Ce portail en ligne offre un suivi en temps quasi réel de la qualité de l'air à l'échelle mondiale.

Un nouveau voyage virtuel proposé par le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) met en évidence les avantages des tourbières, cet écosystème unique qui fonctionne depuis la nuit des temps.

L'Inde se prépare à une nouvelle augmentation de la pollution atmosphérique. À l'automne, les agriculteurs du nord du pays brûleront leurs champs pour faire place à de nouvelles cultures. Pendant les incendies, la pollution atmosphérique à Delhi peut être 14 fois plus importante que ce que recommande l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), une grande partie du pays étant recouverte d'un brouillard si épais qu'il est possible de le voir depuis l'espace. Le cas de l'Inde est frappant, mais il n'est pas unique. Or, des alternatives sans brûlis existent et permettent presque toujours aux agriculteurs d'économiser de l'argent. 

 

 

L'année 2020 est une étape importante pour ce traité international destiné à protéger la santé humaine et l'environnement.

Le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) a créé des expériences numériques immersives dans le cadre de sa campagne . Quatre "voyages" au sein des écosystèmes vous font découvrir la magie des systèmes naturels interconnectés et vous incitent à agir pour protéger ces écosystèmes différents. Le premier voyage est le .  Les prochains vous feront découvrir les savanes, les forêts et les tourbières.

 

La pandémie de coronavirus est en train de créer ce que les experts appellent une crise de la conservation au Kenya, pays qui abrite certains des animaux les plus emblématiques d'Afrique. La plupart des programmes kenyans de protection de la faune et de la flore sont financés directement par les touristes et, avec la baisse du nombre de visiteurs, les fonds destinés à la conservation se tarissent, selon les experts. On craint également que le braconnage n'augmente, laissant la protection de la faune sauvage en suspens. Mais la pandémie encourage les pays à changer la donne.

Rejoignez le programme Wild for Life du PNUE pour un voyage virtuel et immersif à travers trois écosystèmes marins uniques.

Il fut un temps où l'agriculture industrielle semblait être la panacée pour un monde en pleine croissance. Voici 10 choses à savoir à son sujet. 

2020 est l'année de la prise en compte des systèmes alimentaires mondiaux. En quelques mois seulement, la COVID-19 a mis la moitié du globe sous cloche. Elle a montré combien la chaîne alimentaire mondiale, fortement centralisée et fonctionnant sur la base d'un approvisionnement juste à temps, est susceptible de vaciller face aux chocs. 

Fresque de l'artiste haïtien Hamson Elysee « Assaf », réalisée avec le soutien de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) pour sensibiliser la population aux bons comportements à adopter dans la lutte contre la propagation de la COVID-19.

Après Ebola, le SRAS, Zika, le VIH/SIDA, la fièvre du Nil occidental, une épidémie de COVID-19 sévit désormais. Ces maladies sont parmi les plus visibles qui ont fait leur apparition au cours des dernières décennies. Bien qu’elles soient apparues dans différentes parties du monde, elles ont une chose en commun : il s’agit de ce que les scientifiques appellent les “zoonoses”, des infections qui se propagent entre les animaux et les humains et dont certaines entraînent la maladie et la mort. révèle que si les pays ne prennent pas des mesures draconiennes pour enrayer les contagions zoonotiques, les épidémies mondiales comme celle de COVID-19 deviendront plus fréquentes.