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Le 10 juin 2024, un bateau transportant 260 migrants a chaviré au large des côtes du Yémen. Abdulraheem Al Mehdar, médecin de l'OIM, s'est courageusement joint aux opérations de sauvetage pour aider ceux qui luttaient pour leur survie.

 

Les services de protection sur les routes migratoires de l’Afrique vers l’Europe « font cruellement défaut », a affirmé ce mardi l'Envoyé spécial de l’Agence de l’ONU pour les réfugiés (HCR) pour la situation en Méditerranée centrale, Vincent Cochetel. Selon , la plupart les réfugiés et les migrants qui empruntent ces itinéraires subissent de graves violations des droits de l’homme en cours de route, notamment des violences sexuelles et sexistes, des enlèvements contre rançon, des tortures, des violences physiques, des détentions arbitraires, des trafics d’êtres humains et des expulsions collectives, alors que les services de protection pourraient contribuer à offrir des alternatives aux voyages dangereux ou à atténuer les souffrances de ces réfugiés et migrants. 

Le parcours de Frederick met en lumière les dures réalités auxquelles sont confrontés les migrants, mais grâce à un programme de l'OIM, lui et bien d'autres bénéficient d'un soutien important pour reconstruire leur vie dans la dignité et l'espoir.

L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) prévoit plus de 10 millions de personnes déplacées à cause du conflit au Soudan. Les risques de famine et de maladies viennent s'ajouter aux ravages du conflit.

Chez elle, en bord de mer, à Mokha, Zahara s'occupe consciencieusement de son mari, dont la santé est fragile, et veille à ce que tous les membres de sa famille élargie aillent bien et soient bien nourris. Il y a plus d'un an, l'OIM leur a fourni un nouvel abri provisoire. Conçu pour résister à la violence des vents côtiers et des pluies saisonnières du Yémen, il offre non seulement une protection physique, mais aussi la sécurité et l'intimité - un luxe rare pour les personnes déplacées. « Grâce à notre abri, nous nous sentons enfin en sécurité », explique Zahara. « Nous sommes protégés des intempéries et nous avons un espace à nous. Nous ne savions pas à quel point nous en avions besoin jusqu'à ce que nous l’ayons. »

Globalizate Radio est plus qu'une simple station de radio ; c'est devenu un véritable lien pour les Vénézuéliens en République dominicaine, premier pays d'accueil des Vénézuéliens dans les Caraïbes. 

L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) a annoncé la nomination de la célèbre actrice de télévision et de cinéma et activiste America Ferrera en tant que nouvelle Ambassadrice mondiale de bonne volonté.

Le nombre de personnes déplacées a atteint le chiffre record de 117 millions fin 2022, selon le dernier rapport de l'OIM sur l'état des migrations, qui révèle les dernières tendances et les défis mondiaux en matière de mobilité humaine.

Au 20 avril 2024, l'OIM et le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés au Pakistan estiment que plus de 550 000 Afghans sont retournés en Afghanistan sous la contrainte depuis l'intensification des retours en septembre dernier. En outre, plus de 31 000 Afghans auraient été arrêtés et détenus au Pakistan au cours de la même période. Après des décennies de conflit, d'instabilité et de crise économique, l'Afghanistan aura du mal à absorber le grand nombre de rapatriés, dont beaucoup n'ont pas vécu dans le pays depuis des décennies, voire jamais.

Le samedi 10 février, alors que les braises de milliers de maisons dévorées par les funestes incendies de forêt dans la région de Valparaíso au Chili couvaient encore, une trentaine de Vénézuéliens sont arrivés dans un élan de solidarité à El Olivar, un quartier ravagé par les flammes à la périphérie de Viña del Mar. Ce groupe, composé essentiellement de migrants, a parcouru 120 kilomètres depuis la capitale du Chili, Santiago, pour apporter de l'aide et faire parvenir leurs dons aux Chiliens qui avaient tout perdu. « Nous avons décidé d’agir pour aider nos frères et sœurs », déclare Raúl Semprún, journaliste vénézuélien.

Depuis ces 13 dernières années, le conflit fait rage au nord-ouest de la Syrie, laissant des cicatrices aussi bien sur la terre que sur ses habitants. La crise de la pénurie d’eau y a atteint un point de rupture, aggravé par les séismes. Le camp de Mustafa, comme de nombreux autres, est confronté à des pénuries d’eau prolongées en raison des dégâts subis par un réservoir d’eau surélevé essentiel pendant les séismes. Mais malgré le désespoir, ils sont restés confiants. L’Organisation internationale pour les migrations (OIM), par l’intermédiaire de son partenaire à Idleb, au nord-ouest de la Syrie, a réussi à reconstruire trois réservoirs surélevés, rétablissant ainsi l’accès à l’eau potable pour plus de 67 500 communautés touchées par le séisme. 

Le conflit et la violence restent les principaux moteurs du déplacement et des mouvements de population en Afrique subsaharienne en 2022, accentués par les chocs et risques climatiques croissants, selon un nouveau rapport.  

Les femmes et les filles ont été particulièrement affectées par les inondations dévastatrices qui ont frappé le Pakistan en 2022. Nisha, une fillette de sept ans, a dû marcher plusieurs kilomètres chaque jour pendant des mois pour accéder à de l'eau potable. Sampa, une veuve de 55 ans, est tombée malade après avoir bu de l'eau contaminée pendant les inondations. Ayant la responsabilité de s'occuper de son enfant de dix ans, elle s'est efforcée d'aller chercher de l'eau tous les jours sous une chaleur accablante. Les efforts de l'OIM pour construire des latrines, des stations de lavage des mains et des pompes manuelles dans les villages de Nisha et Sampa ont apporté un soulagement et amélioré l'accès à l'eau potable et aux services d'hygiène.

En plein conflit au Yémen, des projets d'approvisionnement en eau menés par les communautés revitalisent celles-ci et leur fournissent un accès essentiel à l'eau potable, transformant ainsi des vies et réduisant le fardeau pour des millions de personnes.

L’OIM soutient activement les femmes à travers diverses activités dans plusieurs sites de déplacement gérés par l’OIM au Yémen, grâce au Projet de participation des femmes. Dans le cadre de ses activités, l’équipe de coordination et de gestion des camps (CCCM) de l’OIM a organisé des séances de formation à la confection d’accessoires pour 77 femmes à travers quatre sites à Ma’rib, visant à les doter de compétences génératrices de revenus. L’atelier a été un tournant pour Tahani. Découvrez son récit.