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New york

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Le Tribunal n'a pas trouvé de fondement à la requête. En particulier, le Tribunal n'a trouvé aucun fondement à l'allégation des requérants selon laquelle les décisions contestées étaient illégales ou qu'elles faisaient l'objet d'une discrimination fondée sur le sexe. Le Tribunal a conclu qu'aucun des requérants ne remplissait les conditions requises pour bénéficier de l'article 6.3(a)(i). 6.3(a)(i) du congé parental en vertu de l'article 1.2 de l'instruction ST/AI/20. 1.2 de l'instruction administrative ST/AI/2023/2, qui fixait la date limite au 1er janvier 2023, et qu'elles ne remplissaient...

Le Tribunal a estimé que la décision de placer le requérant en ALWP était légale, raisonnable et proportionnée, et que le RSSG a raisonnablement exercé son autorité pour protéger le travail du comité d'établissement des faits (conformément à l'article 11.3(b) du ST/AI). /2017/1) et pour éviter tout préjudice aux intérêts et à la réputation de l’Organisation (conformément à la section 11.3(c) du ST/AI/2017/1). Le demandeur n'a pas réussi à établir que la décision contestée était arbitraire ou capricieuse, motivée par un parti pris ou d'autres facteurs étrangers, ou était entachée d'une...

Compte tenu de l'absence de preuves directes devant le Tribunal, la victime présumée ayant refusé de témoigner, le Tribunal a estimé que le défendeur n'avait pas réussi à prouver de manière claire et convaincante, ni même de manière prépondérante, les allégations factuelles ayant conduit à la conclusion de l'USG/DMSPC selon laquelle le requérant l'avait harcelée sexuellement. Dans le même ordre d'idées, la partie défenderesse n'a pas non plus démontré que le requérant avait créé un environnement de travail hostile pour elle. 

Bien que les actions et le comportement du requérant n'aient pas...

L'instruction ST/AI/2020/5 ne s'applique qu'aux décisions de sélection prises à partir (a) d'une « liste de candidats » qui a été « approuvée par un organe central de contrôle » ou (b) d'une liste de candidats à un concours. Aucune de ces situations ne s'applique en l'espèce. Il est incontesté que la décision de sélection contestée était régie par l'instruction administrative ST/AI/2010/3/Rev.1 (Système de sélection du personnel), dont la section 3.1 dispose que « [l]a décision de sélection doit être prise sur la base d'une liste de candidats ». 3.1 prévoit que « [l]a procédure de sélection et...

Compte tenu de la jurisprudence susmentionnée, le Tribunal estime que le requérant doit démontrer : a) que les décisions contestées lui étaient spécifiquement adressées sur une base individuelle et qu'elles n'étaient pas d'application générale pour les autres membres du personnel, et b) que c'est l'Administration qui a pris les décisions et non une autre entité ou personne extérieure à l'Organisation des Nations Unies.  

Les dispositions de la circulaire ST/SGB/2019/8, sur lesquelles le requérant cherche à fonder sa demande, ne sont opposables qu'à des personnes, et non à des gouvernements...

Le Tribunal a estimé que le requérant s'était livré à de multiples actions qui constituaient des fautes graves. Par conséquent, sa conduite a non seulement montré un manquement grave aux normes minimales d'intégrité conférées à un fonctionnaire international, mais elle a également montré un mépris flagrant des règles de l'Organisation. La conduite du requérant a sapé la confiance que l'UNICEF avait placée en lui. Cette confiance est essentielle à la poursuite d'une relation de travail. Dans ces circonstances, le Tribunal a considéré qu'il était approprié pour l'UNICEF de mettre fin à sa...

UNDT/2024/005, Amani

Le Tribunal a estimé que la demande n'était pas recevable en ce qui concerne les cinq décisions contestées dans la demande du requérant. Le Tribunal a constaté, entre autres, que le requérant n'avait pas demandé d'évaluation de la gestion d'une décision contestée ou que l'évaluation de la gestion du requérant était prescrite. En ce qui concerne la décision contestée n° 5, le Tribunal a estimé que la demande n'était pas recevable ratione materiae parce que le requérant n'avait pas clairement identifié une décision administrative susceptible d'être réexaminée. 

UNDT/2023/135, Kirby

Le Tribunal a estimé que la requérante n'avait pas démontré, par des preuves claires et convaincantes, qu'elle s'était vu refuser une chance équitable de promotion. La décision contestée était légale, l'administration ayant exercé de manière appropriée son pouvoir discrétionnaire en matière de sélection du personnel. Le Tribunal n'a trouvé aucune preuve à l'appui du point de vue de la requérante selon lequel sa participation à des discussions « litigieuses » avec la direction de la DGACM en tant que représentante du syndicat du personnel avait une incidence sur la procédure d'entretien pour le...

Le Tribunal a conclu que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en estimant que l'administration avait établi que l'AAR avait divulgué illégalement des informations confidentielles et qu'il avait illégalement omis de signaler un conflit d'intérêts et de se récuser.

Le Tribunal d'appel a également estimé que la mesure administrative imposée à AAR était proportionnée à sa faute et que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en accordant des dommages moraux pour le préjudice subi par AAR en raison du retard excessif dans l'achèvement de la procédure disciplinaire.

Le Tribunal d'appel a donc...